3 Nov

Sign the pledge to end violence against women

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Sign the pledge

  • Photos du Congrès

  • 08:00

    Table ronde N. 3 : Plus qu’un emploi – L’avenir du travail dans la fonction publique

    • 08:00-09:30 salle 1+2+3+4

    Les personnes employées dans la fonction publique ne sont pas motivées uniquement par l’argent – elles servent également leur communauté. Pour ce faire, elles doivent pouvoir jouir de droits en tant que travailleurs/euses, de conditions de travail décentes, mais être impliquées dans la gestion des services qu’elles délivrent. Ce paradigme est en pleine évolution aux quatre coins de la planète.

    Les développements économiques et technologiques – mais aussi politiques et idéologiques – remettent en question la manière dont les services publics sont fournis. Bon nombre des services auparavant délivrés par des fonctionnaires du gouvernement sont à présent assurés par le secteur privé ou le secteur sans but lucratif. Dans certains pays, même les fonctions centrales du gouvernement – comme l’administration de la justice et la sécurité – sont sous-traitées. Il en résulte de profonds changements en termes de conditions d’emploi, la désyndicalisation, la précarité de l’emploi et une évolution de la culture de prestation de ces services, s’écartant de la prestation de service à la communauté pour devenir une prestation axée sur le profit.

    Dans le même temps, l’évolution technologique génère des possibilités permettant aux intérêts puissants de remodeler l’économie et notre conception en la matière. Les robots, l’économie de partage, l’économie de plateformes ou l’économie des applications, la société en réseaux – tous ces paramètres modifient la relation entre le travail et le capital et mettent à l’épreuve des concepts bien établis tels qu’« employé(e) » et « employeur », « salaires », « congé », « exploitation », « vie privée » et – plus important encore – le concept de « droits ».

    Pour comprendre et faire face à ces nouvelles formes de travail et de services publics, nous ne devons pas oublier que la technologie est possédée, contrôlée et promue par des acteurs sociaux affichant des intérêts particuliers. Et que ceux qui promeuvent les modèles privés de services publics agissent selon des motivations politiques, idéologiques et économiques.

    Pour protéger les services publics et les droits des travailleurs/euses, il est essentiel de comprendre les tendances actuelles.

    Animée par Nozipho Mbanjwa

    Auteur et journaliste pour CNBC Afrique. Chaque intervenant(e) donnera son point de vue sur ce que l’avenir du travail réserve aux travailleurs/euses des services publics.

    Intervenant(e)s :

    Rosa Pavanelli

    Secrétaire générale, Internationale des Services Publics (ISP)

    Guy Ryder

    Directeur général, Organisation internationale du Travail (OIT)
    Guy expliquera en quoi le futur programme de travail de l’OIT concerne les travailleurs/euses des services publics.

    Karen Gregory

    Maître de conférences en sociologie numérique, University of Edinburgh, Royaume-Uni

    Serena Sorrentino

    Secrétaire générale, Funzione Pubblica CGIL, Italie
    Serena parlera de la campagne fructueuse du CGIL pour une Charte des droits syndicaux en Italie ainsi que de la campagne contre l’utilisation des « bons » introduits par le gouvernement pour légaliser le travail rémunéré à l’heure.

    Annie Enriquez-Geron

    Présidente, Confédération syndicale indépendante des services publics (Public Services Labor Independent Confederation – PSLINK), Philippines
    Annie exposera les récents succès de la campagne coordonnée par l’ISP visant à faire ratifier la Convention n° 151 de l’OIT par les Philippines, le premier pays asiatique à le faire. Elle parlera également des leçons que l’on peut tirer de cette réussite.

    Naoki Murakami

    Président, Conseil national des sapeurs-pompiers et travailleurs/euses ambulanciers/ères japonais(es) (National Council of Japanese Firefighters and Ambulance Workers), Japon
    Murakami-san parlera de la lutte pour le droit d’organisation pour de nombreux sapeurs-pompiers japonais(es), qui risquent chaque jour leur vie, mais sont privé(e)s de leurs droits syndicaux fondamentaux.

    Marcello Di Stefano

    Secrétaire aux relations internationales, Association du personnel de l’Université de Buenos Aires (Asociación del Personal de la Universidad de Buenos Aires – APUBA), Argentine

    George Poe Williams

    Secrétaire général, Association nationale des travailleurs/euses de la santé du Liberia (National Health Workers’ Association of Liberia – NAHWAL), Libéria
    George présentera les leçons tirées des récents succès de la campagne soutenue par l’ISP, en vue de faire reconnaître la NAHWAL au Libéria, où des travailleurs/euses de la santé ont récemment risqué leur vie lors de l’épidémie d’Ebola, alors qu’ils/elles étant privé(e)s de leurs droits syndicaux fondamentaux et ne recevaient souvent aucune rémunération.

  • 9:30

    Séance générale (PdA et résolutions des affiliés)

    • 9:30-11:15 salle 1+2+3+4
  • 11:15

    Table ronde N. 4: Paradis ou enfer ? : Urbanisation durable et services publics

    • 11:15-12:15 salle 1+2+3+4

    Le monde connaît actuellement l’urbanisation la plus rapide de l’histoire, sous l’effet des déplacements de population délaissant les zones rurales à destination des villes, en quête d’emplois et d’une vie meilleure. L’expansion urbaine a le potentiel de créer de la richesse et des possibilités, ou d’entraîner la pauvreté, la maladie et la misère ; nos choix de gestion urbaine sont ici déterminants.

    Lorsqu’elles accueillent de nouveaux citadins, les collectivités urbaines gagnent en dynamisme et s’épanouissent dans la diversité, l’énergie et l’innovation. Des systèmes politiques ouverts, des services publics de qualité, une bonne planification et des emplois décents président à la réussite économique et sociale. Sans eux, les villes peuvent devenir des foyers de polarisation, avec d’une part des oasis embourgeoisées et de l’autre des ghettos qui déshumanisent les individus et leurs communautés.

    L’enjeu réside dans la qualité de prestation des services publics par les autorités et dans le degré d’émancipation de ces communautés au sein des sphères politique, sociale et judiciaire de leurs villes.

    Cet environnement exige un financement approprié au niveau municipal, une gouvernance inclusive, une imposition fiscale progressive, des pratiques policières justes, un écosystème durable qui soit compatible avec l’homme et l’accès universel à une éducation de qualité, à la santé, au logement, à l’eau, à l’assainissement, à l’énergie et aux transports. Il requiert également un niveau de préparation adéquat face aux urgences, afin de pouvoir intervenir et se remettre de tout type de catastrophe d’origine naturelle ou humaine. Rien de tout cela n’est possible sans un personnel dévoué, bien formé et rémunéré, issu de la communauté même et auquel on donne les moyens de travailler dans la dignité.

    Lorsque ces services font défaut ou sont confiés à la sphère privée, et lorsque les fonctionnaires ne sont pas valorisés ou sont privés de leurs droits au travail, tout le monde en fait les frais.

    Animée par Jane Dudman

    Editrice du Public Leaders’ Network du Guardian. Chaque intervenant(e) donnera son point de vue sur le rôle des services publics pour atteindre une urbanisation durable. Jane Dudman parlera également des grandes tendances mondiales et des défis au sein des administrations locales et régionales.

    Intervenant(e)s :

    Mark Hancock

    Président national, Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), Canada
    Mark Hancock abordera la question de faire revenir les services publics urbains sous la coupe de l’Etat et parlera de leur financement durable.

    Mette Nord

    Présidente du Syndicat norvégien des travailleurs/euses municipaux/ales et généraux/ales (Norwegian Union of Municipal and General Employees – Fagforbundet), Norvège
    Mette Nord discutera de la création d’une force syndicale et d’un dialogue social tripartite à l’échelle locale.

    Ibrahim Khaleel Abdulkadir

    Président, Syndicat nigérian des employé(e)s des administrations locales (Nigeria Union of Local Government Employees – NULGE), Nigeria
    Khaleel discutera de l’autonomie des administrations locales et de leur financement durable sur la base des expériences de la campagne nationale du NULGE à ce sujet.

    Mariko Aoki

    Vice-présidente, Syndicat de tou(te)s les travailleurs/euses japonais(es) des préfectures et municipalités (All Japan Prefectural and Municipal Workers Union – JICHIRO), Japon
    Mme Aoki parlera de la lutte contre le travail précaire dans les administrations locales et de la manière dont des conditions de travail bonnes et stables améliorent la qualité des services.

    Edgardo Bilsky

    Directeur de recherche, Cités et Gouvernements locaux unis (UCLG), Espagne
    Edgardo discutera de localiser les agendas de développement et parvenir à l’inclusion sociale dans les villes.

  • 12:15

    Séance générale (PdA et résolutions des affiliés)

    • 12:15-12:45 salle 1+2+3+4
  • 12:45

    Déjeuner

    • 12:45-14:15
  • 13:00

    Manifestation du Congrès de l'ISP à la Place de Nations

    • 13:00-13:45

    Assurez-vous d’apporter vos bannières syndicales pour ce grand rassemblement en soutien aux fonctionnaires des Nations Unies et aux droits syndicaux de tous/tes les travailleurs/euses des services publics.

    Si les fonctionnaires internationaux/ales sont essentiel(le)s pour la gouvernance mondiale et jouent un rôle prépondérant dans la promotion des droits humains, ils/elles sont toutefois également exposé(e)s à des menaces et à des attaques dans les pays où ils/elles sont détaché(e)s. Leurs droits fondamentaux sont bien souvent bafoués – notamment le droit à la négociation collective – et ils/elles rencontrent de nombreux obstacles lorsqu’ils/elles souhaitent saisir la justice.

    Récemment, la Commission de la fonction publique internationale (CFPI) a tenté de sabrer de 7,5 pour cent le salaire du personnel des Nations Unies et les membres du personnel du siège des Nations Unis sont aussi confronté(e)s à une incertitude croissante en ce qui concerne leur statut contractuel, leurs avantages et la perte d’emploi liée à la sous-traitance et la délocalisation. Des cas de représailles et des décisions arbitraires à l’égard des responsables syndicaux et/ou des délégué(e) du personnel, y compris des licenciements, ont été rapportés. Cette situation entraîne des conditions de travail médiocres et a une incidence contreproductive sur les activités des Nations Unies.

    A l’heure actuelle, 40 pour cent des membres du personnel des Nations Unies sont des sous-traitant(e)s externes, et la moitié d’entre eux/elles occupent ce statut depuis au moins cinq ans. Il en résulte une main-d’œuvre ayant deux statuts différents au sein d’une même organisation : l’une pouvant pleinement exercer ses droits et profiter de nombreux avantages, l’autre bénéficiant d’avantages limités voire inexistants. Cela va à l’encontre des principes internationaux en matière de droit du travail et des valeurs prônées par les Nations Unies.

    Nous aborderons également la question des stages non rémunérés au sein de la majorité des organisations des Nations Unies. Ces stages remplacent progressivement les postes de premier échelon et favorisent celles et ceux qui peuvent se permettre de travailler gratuitement – souvent à la charge de leurs parents –, ce qui exacerbe encore plus les inégalités existantes.

    Les Nations Unies font de plus en plus appel à des stagiaires non rémunérés : leur nombre a en effet augmenté de 10 % ces quatre dernières années. L’organisation doit de toute urgence adopter les meilleures pratiques en la matière et verser à l’ensemble de ses stagiaires une bourse de subsistance similaire à celle offerte par l’OIT, pour garantir la diversité et l’égalité d’accès.

    L’ISP tient à exprimer sa solidarité envers les fonctionnaires internationaux/ales, mais également envers les consultant(e)s, stagiaires et bénévoles des Nations Unies, et toutes les personnes travaillant et risquant leur vie dans des pays souvent en guerre ou frappés par des catastrophes naturelles ou des épidémies, ou réalisant des opérations de maintien de la paix ou de l’Etat de droit.

    Nous appelons les Nations Unies à respecter les droits syndicaux et du travail de leurs travailleurs/euses !

    ]Nous avons besoin d’une organisation forte et unie, qui met ses travailleurs/euses à l’honneur et les traite de façon juste et équitable !

    Nous avons besoin d’une organisation qui reflète la diversité, reconnaît la valeur du travail et paie ses stagiaires !

    Intervenant(e)s lors de la manifestation :

     

    Rosa Pavanelli – Secrétaire générale, Internationale des Services Publics

    Catherine Comte-Tiberghien – Syndicat du personnel de l’OIT

    Jamshid Gaziyev – Syndicat du personnel de l’ONU

    Bibi Sherifa Khan – Syndicat du personnel de l’ONU à New York

    Des stagiaires à l’ONU – Fair Internship Initiative

    Les syndicats des personnels de l’ONU et de l’OIT sont affiliés à l’ISP. Le Syndicat du personnel de l’ONU à New York est affilié à l’American Federation of Teachers (AFT), un affilié de l’ISP.

  • 14:15

    Table ronde N. 5: Pour le plus grand nombre – Des services publics pour une économie mondiale juste

    • 14:15-15:15 salle 1+2+3+4

    Pour instaurer un monde où les travailleurs/euses évoluent dans la dignité, où la planète est protégée et où chacun peut répondre à ses besoins élémentaires et s’accomplir pleinement, il faut un modèle économique différent de celui que nous connaissons.

    Une économie pour le peuple ne peut être envisageable tant que le paradigme du marché et de la concurrence demeure omniprésent, entraînant un nivellement par le bas en matière de salaires, d’impôts, de prestation de services publics et de normes environnementales. Si le système actuel est politiquement viable, c’est uniquement parce que ceux qui en bénéficient ont délibérément créé une idéologie qui véhicule insidieusement de fausses croyances telles que l’inefficacité des services publics, leur incapacité à innover et le soi-disant fardeau qu’ils représentent pour l’économie.

    Pourtant, les gens demeurent très attachés à la qualité des services publics dont ils bénéficient. Ils se battront pour les défendre et les développer si on leur présente des alternatives viables et performantes. On constate une certaine animosité du peuple envers les grandes sociétés prospères qui n’acquittent pas leur juste part d’impôt. Les collectivités se mobilisent toujours davantage en vue de stopper les accords commerciaux qui accentuent les inégalités, transfèrent des droits aux grandes sociétés et portent atteinte aux services publics.

    Nous devons veiller à ce que les services publics reprennent leur place centrale dans la réalisation des droits de l’homme et au cœur de l’État démocratique – pour assurer la réglementation démocratique, soutenir le développement durable et fournir des services accessibles à tous. Nous devons valoriser les services publics, et les fonctionnaires, en raison de leur contribution économique mais aussi sociale. Notre capacité à progresser vers une économie plus juste dépend essentiellement de notre capacité à présenter des alternatives crédibles, à éduquer, à mobiliser l’opinion publique et à influencer la prise de décisions.

    Animée par Tove Maria Ryding

    Responsable de la politique et du plaidoyer en matière de justice fiscale et de financement du développement au sein du Réseau européen sur la dette et le développement (Eurodad). Cette table ronde cherchera à savoir à quoi une économie centrée sur la population ressemblerait, quel rôle les services publics joueraient et comment nous pouvons construire un tel avenir.

    Intervenant(e)s :

    Sanya Reid Smith

    Conseillère juridique et spécialiste du commerce, Réseau Tiers Monde, Malaisie
    Sanya présentera les menaces que représente la nouvelle série d’accords commerciaux pour les travailleurs/euses, la démocratie et les services publics.

    Ayuba Wabba

    Président, Conseil du travail du Nigeria
    Comrade Ayuba analysera l’impact de la dette, de l’ajustement structurel et de l’évasion fiscale des multinationales sur les pays en développement, et partagera son expérience en tant que dirigeant des syndicats du Nigeria dans la lutte pour la justice fiscale et le développement inclusif.

    Dennis Kristensen

    Président, Confédération des employé(e)s municipaux/ales, Danemark
    Dennis apportera une réflexion sur l’avenir du modèle de protection sociale des pays du Nord de l’Europe et sur les répercussions sur les travailleurs/euses d’Europe et du reste du monde.

    Ann Pettifor

    Economiste, City University and New Economics Foundation, Afrique du Sud
    Ann Pettifor abordera les problèmes du modèle actuel de mondialisation, la manière dont la dette sert d’écran de fumée pour discréditer les services publics et le rôle vital de ces derniers dans la création d’une économie solide.

  • 15:15

    Séance générale (PdA et résolutions des affiliés)

    • 15:15-16:30 salle 1+2+3+4
  • 16:30

    Table ronde N. 6 : Administration publique – À vendre au plus offrant ?

    • 16:30-17:30 salle 1+2+3+4

    L’assurance de services publics de qualité et d’un gouvernement démocratique exige indépendance et éthique en matière d’avis politiques, d’excellents administrateurs publics ainsi qu’une intense surveillance réglementaire. L’expérience et les faits montrent que les fonctionnaires doivent être libres de toute ingérence politique et que la fonction publique doit disposer d’une solide culture de l’indépendance et de l’engagement à servir la collectivité.

    Mais la situation évolue. Plusieurs décennies d’austérité visant à priver le secteur public des ressources dont il a besoin, associées à une propagande sur l’efficacité supérieure du secteur privé, ont érodé les principaux piliers de l’administration publique. De plus en plus, l’élaboration des politiques est confiée à de grandes sociétés de conseil ayant des intérêts financiers dans les résultats visés et dont les employé(e)s se retrouvent tiraillé(e)s entre les hauts échelons de la fonction publique, le gouvernement et les entreprises. L’érosion de l’administration publique encourage la corruption, la mainmise des milieux d’affaires sur la vie politique et celle des entrepreneurs sur les services. La privatisation et l’externalisation suscitent une perte des compétences de base et du contrôle démocratique. La baisse du niveau des salaires, le déficit de formation et l’emploi précaire exacerbent encore cette situation.

    Nous devons exiger un emploi titularisé afin de nous protéger contre l’ingérence politique, les intérêts particuliers, la manipulation politique et la corruption. Le personnel doit être convenablement formé pour garantir l’excellence de ses conseils et services, la rémunération doit être suffisante pour attirer et retenir les bons employé(e)s mais aussi éviter toute incitation à la corruption. Nous avons besoin d’un effectif diversifié, reflétant les valeurs et les aspirations de la communauté desservie.

    Les fonctionnaires ne pourront exercer leur droit d’organisation et de négociation collective qu’en présence de ressources suffisantes, de politiques efficaces de lutte contre la corruption, de mesures de protection des dénonciateurs et de mécanismes de protection juridique effectifs. Les fonctionnaires doivent être en mesure d’exercer leurs droits en matière d’emploi.

    Animée par Ögmundur Jónasson

    Ancien ministre de l’Intérieur islandais et ancien membre du Conseil exécutif de l’ISP. Cette table ronde examinera les tendances dans les administrations publiques et ce qu’elles signifient pour les services publics, la démocratie et les travailleurs/euses du secteur public.

    Intervenant(e)s :

    Catherine Comte-Tiberghien

    Présidente, Syndicat du personnel de l’OIT, Catherine parlera de l’importance du fait que les fonctionnaires internationaux puissent exercer leurs droits syndicaux si nous voulons que nos institutions politiques mondiales développent une politique de qualité sans aucune influence de la part des politiques ni des entreprises.

    David J.Cox

    Président, Fédération américaine des employé(e)s du gouvernement (American Federation of Government Employees – AFGE), Etats-Unis
    David exposera les attaques actuelles contre la démocratie, les droits syndicaux et l’élaboration de politiques indépendantes sous l’administration Trump, ainsi que leurs implications pour les Etats-Unis et le monde entier.

    Ariel Pringles

    Secrétaire aux relations internationales, droits humains et institutionnels, Syndicat des employé(e)s de la justice nationale (Unión de empleados de la Justicia Nacional – UEJN), Argentine
    Ariel Pringles parlera de l’indépendance des employé(e)s du secteur public et de la nécessité de protéger les lanceurs d’alerte.

  • 17:30

    Séance générale (PdA et résolutions des affiliés)

    • 17:30-18:00 salle 1+2+3+4
  • 18:00

    Réunion de la Commission du règlement et décisions concernant les résolutions d’urgence (si besoin : séance à huis clos)

    • 18:00-19:00 Salle 5+6
  • 18:00

    Visite au Musée de la Croix-Rouge (inscription obligatoire)

    • 18:00-20:30
  • 18:30

    Projection spéciale "UNE JOURNEE"

    • 18:30-20:30

    L’équipe de communication de l’ISP a rencontré des membres et des affiliés dans le monde entier en vue de créer une série de courts-métrages qui se penchent sur les enjeux, les succès et la vie quotidienne des travailleurs/euses des services publics.

  • 20h00

    Manifestation sociale des jeunes travailleurs/euses (inscription obligatoire)

    • 20h00–23h00

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